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 » PATIENTS FOUS

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MessageSujet: » PATIENTS FOUS   » PATIENTS FOUS Icon_minitimeMar 3 Mar - 0:08




    MusicPlaylist
    Music Playlist at MixPod.com



    Les Fous. Dédoublement de la personnalité, Hallucination, Tendance paranoïaque, Névroses en tout genre… les fous sont de véritables patients. Ce sont eux qu’on laisse trainer dans les couloirs lorsqu’il y a une inspection. Leur manque de raisonnement logique les rend totalement incompréhensible autant pour les autres patients que pour le personnel soignant. Ce sont des agneaux capable de devenir des loups à n’importe quel moment. Impossible de les maîtriser, impossible de les utiliser pour les expérience car plus aucune règle ni menace ne marche sur eux, les fous sont simplement observer et servent à maintenir un fragile équilibre au sein du Centre par leur position instable. Les autres patients les craignent aussi facilement que le personnel soignant. Les fous sont trop imprévisibles pour être fiables.
    Bien souvent les fous sont eux aussi des patients de Boston, devenus fou à cause des expériences, parce qu’ils étaient en contact avec d’autres fous, parce qu’ils ne pouvaient pas supporter le traitement qu’on leur imposait. Il arrive que certains soient devenus fous sans que le Centre en soit coupable. Parfois découvrir qu’on possède des dons hors du commun peut rapidement mener à la folie. Surtout si personne ne vous en croit capable. Quoi qu’il en soit les fous ne sont sans doute pas les plus malheureux. Enfermés dans leur délires, ils sont finalement plus à l’abri de la souffrance que les autres.

    — Dulce M. Laslow - Eliza Dushku
    — Jasper E. William - Jackson Rathbone
    — Holly S. Hasting - Evan Rachel Wood
    — Lorenzo E. Raphaelo - Jim Sturgess


personnage pris;
personnage réservé;


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MessageSujet: Re: » PATIENTS FOUS   » PATIENTS FOUS Icon_minitimeMar 3 Mar - 0:38

    PATIENTS FOUS
    du Centre


    « Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'on croit. »

    - François de La Rochefoucauld.



    » PATIENTS FOUS K9tksk
    Dulce Melody
    Laslow

    { Eliza Dushku }
    ;personnage libre

    » PATIENTS FOUS Elizasasexybitch008

    INFORMATIONS
    23 ans ; américaine
    Dédoublement de personnalité
    Résidente du LEVEL FOUR
    Elue

    POUVOIRS

    — Elle absorbe comme une éponge des personnalités, leurs souvenirs, leurs émotions.
    — Durant 24h, elle prend une personnalité qu’elle a absorbé et effectue sa journée comme si elle était cette personne.
    — Elle est capable de conserver sa propre personnalité.



      once upon a time ;
      La jeune femme s’éveilla en nage dans un lit d’hôpital, ses mains entravées, ses poignets étaient enfermée par des menottes attachées aux barres de maintient du lit. Elle ne savait pas où elle était ni comment elle était arrivée là. Sa tête tournait, les objets autour d’elle étaient net puis devenaient flous, se dédoublaient sans raison. La première chose qui lui vient à l’esprit c’est qu’elle s’était encore dormie, et qu’elle ne se souvenait de rien. La dernière chose qu’elle se souvenait c’est de Matt à ses côtés lorsqu’elle s’était allongée ce soir là. Mais il faisait jour au dehors, et on l’avait drogué. Les infirmières allaient et venaient autour d’elle sans rien lui dire, elles étaient méfiantes. Dulce ne savait pas ce qui se passait mais elle entendait ce qu’on disait. Elle était folle et on ne pouvait plus rien pour elle. Quelqu’un allait l’emmener. On allait prendre soin d’elle.
      Dulce n’est pas folle si c’est la question que vous vous posez en lisant ces lignes. Cette jeune femme de 23 ans venant de l’Ohio n’est pas plus folle que vous et moi. A vrai dire, tout irait bien dans sa vie si elle n’avait pas reçu un don, mais pour elle ça ressemble plus à une malédiction. Mais revenons en arrière que vous compreniez mieux tout ça.
      Dulce est née dans une famille aimante, entourée de trois frères et sœurs. Vous savez comment sont les familles nombreuses, c’est un joyeux bordel qu’on rêve de quitter. Mademoiselle Laslow avait beau adoré sa famille, elle fut très heureuse d’entrer à l’université. Déjà des choses étranges étaient apparues dans sa vie. De nature douce et généreuse, Dulce ne s’inquiétait pas outre mesure. Elle était persuadée que ce n’était des troubles du sommeil. Mais tout de même dormir plus de 24 heure n’était pas normal, et puis, son frère aîné lui avait dit quelque chose d’étrange, qu’elle n’était pas là, en train de dormir, qu’elle disparaissait. Souffrait-elle de somnambulisme ? Dulce ne s’en souvenait même pas. Elle ne se souvenait de rien à vrai dire, même pas des rêves qu’elle aurait pu faire. Elle s’éveillait dans son lit, fraîche comme une rose, prête à démarrer une nouvelle journée. Et tout aurait été pour le mieux si on ne l’avait pas trouvé couverte de sang, hurlant de peur dans une pièce plongée dans l’obscurité entourée de cadavre. On avait conclu qu’elle était folle parce que ses paroles n’étaient pas cohérentes et que ses antécédents laissaient penser qu’elle souffrait de troubles de la personnalité. Ne l’avait-on pas vu danser toute la nuit ? Un témoin dans une histoire de meurtre d’un témoin à charge l’avait reconnu comme la femme ayant tiré à bout portant. Cette fille était une énigme et on n’avait pas le temps de la résoudre.

      informations confidentielles ;
      — Ce sont ses parents inquiets par la tournure que prenait les choses qui ont appelés le Centre. Ils n’ont pas les moyens de payer des soins au Centre pour leur fille, et se ruinent pour qu’elle y reste, parce qu’ils ne veulent pas qu’elle aille en prison. Ils pensent bien faire, faire pour le mieux.
      — Elle n’a aucun souvenir des personnalités qu’elle a absorbée ni des journées qu’elle a passé en étant l’une de ces personnes. Elle ne sait pas qu’elle a un don, et ne pense pas être folle. A vrai dire, elle se demande ce qu’elle fait là.

      relations ;

      Oswaldo N. Fitzgerald — Oswaldo aime bien Dulce. Il n’est pas le seul. Personne n’arrive à détester la jeune femme, même si elle trouble tout le monde avec son don. Persuadé qu’elle peut dominer son don et redevenir elle-même, Oswaldo essaie d’aider la belle. Mais cette dernière refuse de comprendre, de voir la vérité. Cependant, elle est très attachée à Oswaldo et lui fait entièrement confiance. Il est comme son grand frère, ici au Centre.



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MessageSujet: Re: » PATIENTS FOUS   » PATIENTS FOUS Icon_minitimeMar 3 Mar - 1:08

    PATIENTS FOUS
    du Centre


    « Ne pouvant se corriger de sa folie, il tentait de lui donner l'apparence de la raison. »

    - Alfred de Musset.



    » PATIENTS FOUS 2eqfark
    Jasper Elliot
    William

    { Jackson Rathbone }
    ;personnage libre

    » PATIENTS FOUS Dvdextra3

    INFORMATIONS
    19 ans ; américain
    Nervosité extrême, souffre de multiple phobie
    Résident du LEVEL THREE
    Elu

    POUVOIRS

    — Capable de sentir les émotions des personnes autour de lui.
    — Il peut retirer une émotion particulièrement violente d’une personne d’un simple contact.
    — Il peut lancer une émotion sur des personnes rassemblées à moins de 5 mètres de lui.



      once upon a time ;
      « Ne me touche pas !! » hurla presque le jeune homme.
      Jasper avait ramené ses jambes contre son torse, entouré ses maigres jambes de ses maigres bras. Tout son corps était secoué de frisson. A la vision de son jeune frère dans cet état la jeune femme en avait des frissons dans la nuque. Tout ce qu’elle voulait c’était qu’il sorte. Observant les fenêtres de sa chambre qu’il avait peinte en noir et couverte de drap après avoir fermé ses volets, elle se sentait encore moins rassurer. Plus le temps passait, plus il allait mal. Cela faisait des mois qu’il refusait de se nourrir. Il disait qu’il y avait quelque chose dans la nourriture, que ça grouillait, comme des asticots.
      « Laisse-moi au moins t’approcher. Je suis ta sœur ! Bordel, Jasper, je suis ta sœur ! Ca compte encore pour toi ? »
      La jeune femme pensait que c’était elle qui allait finir au Centre. Ses parents n’arrêtaient pas d’en parler. Ils n’avaient que ce mot à la bouche. Comme si le Centre allait pouvoir faire quelque chose. Ils allaient le bourrer le drogue pour le forcer à se nourrir, ou lui mettre une intraveineuse. Ca n’arrangerait rien. Son frère allait devenir fou à lier, et ils n’allaient rien faire pour lui.
      « Vas t’en ! » cria-t-il à sa sœur sans même la regarder.
      Sa tête était enfoncée entre ses jambes. Sa sœur repoussa un mouchoir qui trainait par terre, mais il sentit qu’elle s’approchait de lui. Dépliant ses jambes, il recula jusqu’au mur. Puis il repris sa position. Mais ses yeux, ses yeux la fixait elle, tremblant presque, complètement exorbités comme si elle était le diable en personne.
      « C’est ça, continue comme ça, donne raison à papa ! » fit-elle presque furieuse.
      Pourquoi ne la laissait-il pas l’aider ? Il voulait vraiment finir au Centre ? Il voulait vraiment qu’on le traite comme un fou, qu’on lui mette la camisole de force et qu’on le laisse dans un coin ?

      informations confidentielles ;
      — Sa famille est devenue très riche après que sa mère, femme au foyer, se soit mise à écrire des livres pour adolescents en s’inspirant des maux que subissait son fils. Connaissant un immense succès, ses livres lui ont permit d’envoyer Jasper au Centre.
      — Sa grande sœur, persuadée que son frère est maltraité au Centre, suit des études de psychologue afin de sortir son frère du Centre. Elle est prête à tout pour rendre à son frère sa liberté, voire le soigner de la folie.

      relations ;

      James S. Herrigton — James est parmi l’un des rares patients du Centre à pouvoir parler à Jasper même si ce dernier refuse catégoriquement que James approche de lui de moins de 5 mètres. N’étant pas chiant, James respecte les volontés de Jasper. Ce dernier a trouvé un grand frère en la personne de James. En fait la musique que fait James avec un rien apaise Jasper, le calme même si c’est pour un court moment.



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MessageSujet: Re: » PATIENTS FOUS   » PATIENTS FOUS Icon_minitimeMer 4 Mar - 0:17

    PATIENTS FOUS
    du Centre


    « J'ai toujours préféré la folie des passions à la sagesse de l'indifférence. »

    - Anatole France.



    » PATIENTS FOUS Mini_081122030131777072
    Holly Sariah
    Hasting

    { Evan Rachel Wood }
    ;personnage libre

    » PATIENTS FOUS Mini_081213030612883506

    INFORMATIONS
    17 ans ; américain
    nymphomane ; aime souffrir
    résidente du LEVEL FOUR
    Elue

    POUVOIRS

    — Manipule les ondes radios.
    — D’un simple contact avec un ordinateur, elle peut forcer la machine à lui obéir.
    — Les serrures ne lui résistent pas, pas même les serrures des coffres forts.



      once upon a time ;
      La petite fille jouait avec ses poupées. Elle aimait ses poupées même si elles étaient vieilles, même si la cire ayant fondu au soleil un beau jour d’été avait fait perdre à la poupée un de ses yeux, même si ses vêtements vieillots et déchirés avaient jaunis à cause du temps. La petite fille se racontait toujours la même histoire. Une princesse battue et violentée trouvait le prince charmant. Il n’était ni beau, ni doux, ni gentil, il était mort depuis longtemps et la nuit venue, il s’éveillait de sa tombe pour aller boire le sang des vivants. La princesse était trop belle pour qu’il boive son sang, mais trop parfaite pour qu’il laisse le temps poser son empreinte sur elle. Alors le prince charmant lui offrait l’éternité. Et dans sa tête de petite fille, la poupée avait encore son œil, ses vêtements étaient fait de soie et d’argent, et son visage était aussi parfait qu’une belle journée de printemps. Les histoires que se racontait la petite fille était peut-être sombre, mais pas autant que sa propre vie.
      Le père rentrait tard. Son travail l’éreintait chaque jour un peu plus et il avait tendance à passer ses nerfs sur sa petite femme. Elle ne préparait jamais les pattes comme il fallait. Elle laissait toujours trop cuire la viande. Et sa manière de le regarder lui déplaisait. Pour lui ôté ce sourire qu’il pensait mesquin, il frappait son visage. Pour lui ôté la migraine qui l’empêchait de copuler, il forçait l’accès à son jardin secret. Et lorsqu’elle ne réagissait plus, lasse, épuisée, se laissait aller, il la quittait et entrait dans la chambre de la petite fille.
      La lumière faible de la lampe de chevet qui servait de veilleuse à la petite fille qui avait encore peur du noir éclairait son visage endormit lorsque son père entra dans la chambre. Il l’éveilla de sa grosse voix dure. La petite fille ouvrit ses yeux étonnés. Voyant l’expression du visage de son père, ses yeux s’agrandirent de terreur. « non papa, s’il te plait » supplia l’enfant en vain. Le père était épuisé et sa petite femme ne résistait même plus. Il aimait la peau douce de l’enfant, il aimait caresser ses boucles blondes, il aimait sa vitalité, la gaîté de son visage, son petit sourire, son petit nez, ses petites lèvres fines. Alors, il repoussa les draps et attira la petite fille contre lui, malgré ses suppliques. « je suis ton père ! » disait-il comme pour se justifier. Et il la força comme il forçait sa mère. Si elle répondait, si elle suppliait trop longtemps, si elle le regardait avec le même air que sa mère, il la frappait et l’écoutait pleurer doucement.
      La petite fille a grandit. Le père est allé en prison parce qu’il avait tué la mère. La petite fille n’avait pas pleurer durant l’enterrement. Elle était une adolescente à présent. Et les larmes ne venaient plus. Lorsqu’elle se trouva un petit ami, il ressemblait à son père. Il fallait que les hommes soient violents avec elle pour qu’elle les aime. Sa tante qui s’occupa d’elle trouva le comportement de sa nièce inquiétant. Elle l’envoya voir des psychologues, la fit suivre par des détectives privés, questionna ses camarades du lycée. Et partout où elle cherchait, elle ne trouvait que le désespoir et la violence. Convaincue d’agir pour le mieux, elle demanda de l’aide à son frère pour qu’il envoie l’adolescente au Centre.

      informations confidentielles ;
      — La famille de sa mère est assez riches, notamment son oncle qui lui paie son séjour au Centre, mais seule sa tante se préoccupe vraiment de son sort. Pour son oncle, la jeune Hasting n’est qu’une loque humaine, aussi indigne de la famille et de son attention que sa pauvre défunte sœur.
      — Holly ne déteste pas son père. Loin de là. Avant d’être emmené de force au Centre, elle allait souvent le voir à la prison, comme si elle avait besoin de lui pour se sentir vivante.

      relations ;

      Lizbeth R. Dashwood — Liz a détesté Holly la première fois qu’elle l’a vue. Cette adolescente se jetant dans les bras du premier venu avec le désespoir d’une femme dérangée était l’exacte contraire de Liz. Holly quand à elle ne comprenait pas pourquoi Liz se montrait si distante. Et puis, un jour, Liz apprit l’histoire de Holly, en entendant une conversation entre le médecin et le psychiatre en charge de la petite Holly. Depuis Liz s’est épris de l’adolescente perdue. Ayant pitié d’elle, Liz fait ce qu’elle peut pour empêcher Holly de sauter sur le premier mec venu. Mais il arrive souvent que Holly finissent par exaspérer sa grande sœur d’adoption.
      Oswaldo N. Fitzgerald — Holly lui a sauté dessus la première fois qu’elle l’a vu. Jouant les femmes enfant à la perfection, elle est parvenue très facilement à amener Oswaldo à coucher avec elle, il faut dire que ce séducteur n’allait pas refuser une si belle offre. Le problème c’est que en ayant accepté si facilement cette offre, Oswaldo gagna un voyage pour le Level FOUR. Depuis, il a compris le comportement de Holly mais il a quand même du mal à la repousser et il arrive souvent qu’il lui cède à nouveau, malgré tout.



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MessageSujet: Re: » PATIENTS FOUS   » PATIENTS FOUS Icon_minitimeMer 4 Mar - 0:18

    PATIENTS FOUS
    du Centre


    « L'habit d'un arlequin n'est pas plus varié dans ses nuances que ne l'est l'esprit humain dans ses folies. »

    - Gustave Flaubert.



    » PATIENTS FOUS Jsturgess51zd1
    Lorenzo Esperanza
    Raphaelo

    { Jim Sturgess }
    ;personnage libre

    » PATIENTS FOUS Shoots-hazycrazy_034

    INFORMATIONS
    22 ans ; italien
    Souffre d’hallucinations ; de migraines violentes
    résidente du LEVEL FOUR
    Elu

    POUVOIRS

    — Voit les rêves et espérances des personnes autour de lui.
    — Peut manipuler les rêves et espoirs des personnes qu’il touche.
    — Peut projeter ses propres rêves et espoirs dans l’esprit d’une personne et le forcer à croire que ce sont les sien.



      once upon a time ;
      Ils ne sont pas là. Ils n’existent pas. Combien de fois avait-on dit à Lorenzo que ce qu’il voyait était issu de son imagination, et rien d’autre ? Depuis qu’il était adolescent, ce doux rêveur était devenu complètement dingue. Voir des choses qui n’existe pas n’est pas vraiment signe de raison me direz-vous, oui mais lorsqu’on refuse de lutter et qu’on ne fait plus la différence entre la réalité et les hallucinations.
      Né dans une grande famille italienne de Florence, Lorenzo avait devant lui un avenir parfait. Sa famille non seulement issu de la noblesse italienne, possédait le pouvoir, la richesse et le savoir. On lui donna une éducation de savant, d’aristocrate, de politicien et de soldat. L’honneur dans la famille importait autant que la religion ou encore que de sauvegarder la puissance de la famille. Tout tournait autour de la puissance et la réputation de la famille. Dès son plus jeune âge, Lorenzo baignait dans les repas d’affaires, les soirées mondaines, les bals de bienfaisances et toute la bonne société italienne. Son talent pour la peinture, la sculpture et la musique égalait son don pour la politique et le droit. Ses parents nourrissaient à son égard les plus grands espoirs. Il faut bien dire que son jeune frère ayant choisit de renié sa famille et de vivre de sa musique ne portait guère les espoirs de ses parents. Mais Lorenzo brillait par son intelligence, son esprit affuté, sa capacité à être machiavélique aussi bien qu’à respecter les valeurs de la famille, mais aussi son sens artistique très développé. Mais personne ne s’est interrogé sur d’où lui venait la souffrance visible dans ses toiles.
      Ce n’est que lorsque ses troubles mentaux devinrent évident que la question fut posée. S’il était un artiste aussi talentueux, peut-être était-ce parce qu’il souffrait vraiment. Et que s’il commençait à déraillé sévère, c’était peut-être parce qu’il ne supportait plus sa vie pourtant si parfaite. Ses parents agirent aussitôt en l’envoyant loin, au Centre. Pas question que les égarements de leur fils ainé ternissent la réputation de leur famille. Et peut-être que finalement, il irait mieux s’il allait là-bas.

      informations confidentielles ;
      — Lorenzo était tombé fou amoureux juste avant d’être envoyé au Centre, mais à cause de ses troubles mentaux, il ne parvenait pas à savoir si la personne dont il était tombé amoureux au point de se rendre malade existait vraiment. Aujourd’hui encore, il ignore si elle fait partit de ses délires et hallucinations ou si elle est réelle.
      — Bien qu’il l’ignore, Lorenzo est bisexuel.

      relations ;

      Dulce M. Laslow — Dulce, lorsqu’elle est dans son état normal, ressent un petit quelque chose pour Lorenzo. En fait, elle en pince pour lui. Lorenzo est un agneaux tendre et perdu à ses yeux et la demoiselle aimerait le remettre sur le droit chemin, l’aider à y voir clair. Le problème ? C’est que lorsque Dulce est normale, elle est très timide et qu’elle n’ose même pas aller lui parler. Quand à Lorenzo, il ne sait pas qui est Dulce entre toutes ces personnalités et ses hallucinations, il est totalement perdu.

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